06.06.2017
Conjointement avec l’ONFI, l’ATIBT a lancé, fin 2016, une réflexion sur les thématiques des plantations forestières.
L’objet de ce travail, cofinancé par ONFI et ATIBT, a été de rechercher les synergies existantes entre entreprises forestières et activités de plantations forestières, ou encore agroforesterie. Entre Bassin du Congo et Afrique de l’Ouest, la situation des pays est bien différente, mais il importe de « voir loin » et d’ouvrir la voie à d’autres solutions pour garantir la ressource sur le long terme.
Ce sujet a été également débattu lors du forum de Dubaï, et a donné lieu à des échanges intéressants.
Après 6 mois, ce travail, qui a été confié à Clément Chevignon, va déboucher en juin sur la réalisation d’une synthèse qui permettra de soulever les difficultés et blocages existants, et de proposer des pistes de travail aux sociétés susceptibles d’être intéressées par ce type d’action.
Atelier sur la sensibilisation des membres de l’UNEMAF à l’agroforesterie en Côte d’Ivoire le 24 mai
La société Tranchivoire et les chocolatiers de Côte d’Ivoire souhaitent promouvoir l’agroforesterie en replantant dans les vieilles cacaoyères. Ce système de reboisement a pour objectifs, entre autres, de fournir de l’ombrage aux plants de cacaoyers, d’améliorer leur productivité et de freiner la déforestation du pays.
De manière spécifique, l’atelier a visé à expliquer le concept de l’agroforesterie et son adoption en vue d’encourager la signature d’un accord entre la société Tranchivoire, les chocolatiers et les planteurs. Il s’est adressé aux acteurs des principaux secteurs impliqués dans l’industrie du bois et dans tous types d’agriculture, principalement dans les cultures cacaoyères, membres ou non de l’UNEMAF.
L’Atelier a été organisé par la société Tranchivoire, membre de l’ATIBT, au Siège de l’UNEMAF, à Abidjan, en collaboration avec le Syndicat des Producteurs Industriels du Bois (SPIB). Un rapport plus complet sera communiqué.